Dimanche 28 octobre 2007 à 13:29

Rien que pour vous, j'ai décidé de ressortir ma vieille rubrique des légendes urbaines, histoires de changer un peu et de faire une pause dans mes racontages de vie. Le thème, cette fois sera donc:

~¤~L'université~¤~

Quand on arrive en terminale, on commence à en avoir plein le cul de tout. Des mêmes tronches de cake qu'on se tape depuis la seconde, des profs, des couloirs bruyants, des révisions et j'en passe des meilleures. Et c'est alors que notre remède clignote au néon dans notre tête. On se dit, vivement la fac! Que je me fasse de nouveaux amis, que je puisse enfin être libre.
Selon moi, il y'a deux types de postulants à la fac:

¤ La catégorie 1:
Si comme moi, vous envisagez la fac, comme une grande récréation, entre pote et cours passionnants, vous vous dîtes que la fac, c'est La solution. Alors quand vous obtenez, votre bac en juin, vous avez presque envie de faire pipi dans votre culotte de bonheur. L'université, c'est le grand cap pour vous. Un pays exotique à explorer. VOus flippez votre mère, parce que vous ne savez pas trop où ça vous mènera, mais vous prenez votre pied, à imaginer, toutes les aprem à glander entre deux révisions avec vos potes dans l'avant cour de Paris 3. Vous vous dîtes que l'université c'est comme dans les séries télé. On travaille un peu, et on s'éclate beaucoup. Avec un peu de chance on se trouvera un bel étudiant, joueur de guitare qui fait psycho et fume des roulées, ou un étudiants erasmus beau comme un dieu.
On se dit que prendre le métro avec notre besace et notre i-pod, ça nous donnera de l'importance. Malheureusement, il y'a de forte chance pour que votre pays exotique se transforme en jungle impraticable. Vous essayez de vous faire des amis, sauf que les gens de votre section à qui vous proposez un café ont déjà un job qu'ils doivent rejoindre à toute allure, font leurs devoirs entre les cours, et doivent retrouver leurs copains dans leurs studios à 750 euros le mois. Forcément vos chances sont compromises. Si vous êtes timides, vous n'oserez pas vous incrustez dans ce groupe de la section théatre qui rigole en fumant un pet autour d'une guitare pendant la pause déjeuner. Vous vous dîtes qu'ici personne n'a le temps, sauf ceux qui ne font strictement rien, et vous c'est pas franchement votre objectif de ne rien faire. D'ailleurs vous n'avez as beaucoup de temsp à vous. Vous partez à 5h30 dum dans un bus désert, vous prenez deux rer et un bus. Vous courrez d'un ufr à un autre, vous utilisez des kilomètres de feuilles, et fumez comme un pompier. Vous parvenez à sympathiser avec quelques personnes mais rien de transcendental.Vous vous dites que vous pouvez tenir le coup, vous voulez être prof, c'est votre enjeu. Sauf que votre prof préféré qui ne connait absolument pas votre nom, vous dit que pour être prof il faut en moyenne 5 ans et non 3 comme c'était prévu à l'origine. On vous dit aussi qu'être prof en italie c'est pas facile (et un rêve en moins). Alors le métro se fait de plus en plus bondé, vous êtes presque transparent, personne ne vous voit dans la foule, vous parvenez à déjeuner avec une ou deux filles préférant être mal accompagnée qu'être seule.vous manquez un TD, puis deux, puis trois, interdite de cours d'anglais.
Et vous perdez pied, submergée.
 vous n'avez pas envie d'être prof, ni même d'être une étudiante brillante et entourée, vous avez juste envie de retrouvez vos amis du lycée, et vos profs qui vous faisais chier.
Alors si vous êtes comme moi, vous abandonnez. Sans regrets. Et vous trouvez un petit boulot mal payé pour le reste de l'année en attendant d'avoir une envie d'avenir. On se dit chouette on va retrouver nos amis, mais ils travaillent ou sont toujours à la fac (braves petits). Vous manquez les inscriptions en BTS et vous commencez à vous posez des questions sur votre inutilité sociale. Alors on a plus qu'une envie, que notre avenir nous tombe sur la tête. On dénicher un livre appellé: le kit de survie de "l'étudiant largué".

¤ Et puis y'a la catégorie 2:

ceux qui sont fait pour ça. Les gens qui savent ce qu'ils veulent, qui s emoquent bien de se faire des amis tout de suite, et qui bossent d'arrache pied pour s'en sortir. Je parle des gens persévérants,ceux qui triment pour payer leurs factures, ou pour venir de banlieue tous les matins. Ceux qui en veulent. Ceux qui ont toujours aimé l'école ou qui ont toujours eu de bonnes notes. Ils se feront des amis avec le temps, ceux qui en vondront comme eux. Ces gens là, ils ne se perdent pas dans leurs B.U parce qu'ils ont attentivement écouté la visite guidée au début du semestre, ils savent où chercher leurs références et font leurs devoirs une semaine avant. Ils vous répondent sans hésiter quand vous leur demandez à quelle heure on commence demain, et quelle salle ce sera. Ils sont tout simplement dans leur élément. Ils sont moins rares qu'on le pense. Et sans les envier, je les respecte. Et j'espère que ça marchera pour eux. Sincèrement.

 Idées reçues à bannir:
* Les personnes de catégorie 2, ne sont ni des lèches-cul, ni des saloperies de prétentieux, ils ont juste les pieds sur terre contrairement à certain.
* Si on se dit que traîner à la terrase d'un café parisien avec ses potes ça fait "so student", on se plante, à 3,75 le coca, on emmenera sa gourde!
* Les gens qui abandonnent rebondissent un jour où l'autre.
* L'échec, c'est une bonne base pour repartir à fond la caisse.
* On est peut-être libre à la fac, mais trop de liberté tue la liberté!
* Arrivez en cours en retard, débraillées, essouflée à cause d'une clope mal passée et d'une course effrenée dans les escaliers, un caffè latte de chez starbucks à la main, et son ipod encore dans les oreilles, ça n'a jamais fait très sérieux!

Lundi 10 septembre 2007 à 16:57

Un parisien sur trois considère la campagne comme complètement old-fashion, hasbeen, ultra-nulle-à-chier.
Le second parisien sur trois, aime sa vie en milieu urbain mais espère pouvoir élever ses enfants sainement, en pleine campagne loin de la pollution.
Et enfin, le dernier parisien de la liste n'envisage de vivre à la campagne qu'au jour de sa retraite bien méritée.






Avant, je pensais comme le parisien n°2. Sauf que moi je n'ai pas attendu d'avoir des enfants pour venir vivre dans la brousse. Et à mon avis, je ne suis pas la seule à m'identifier à l'un de ses parisiens précedemment cités.
C'est pourquoi j'ai décidé de vous décrire concrètement la campagne où je vis (car bien entendu toutes les campagnes ne se ressemblent pas)!

Moi, je vis dans une campagne de côte, ce qui signifie que j'ai la mer près de chez moi. Et oui! Remarquez, ça me fait une belle jambe, moi qui ne supporte pas la plage! Mais bon, le principal c'est que je l'ai non, même si je m'en sers pas! :)
Il y'a beaucoup de verdure et relativement peu de circulation. Concrètement ça veut dire que dans ma banlieue, avant à champigny, on comptait le nombre de minutes ou d'heures qui nous séparait du lycée, ou du boulot, et qu'ici, en Vendée, ben on compte tout simplement en kilomètres!
Ca veut dire aussi qu'ici il y'a beaucoup d'herbe (plus qu'au Plateau, si si!), beaucoup de champs avec des vaches (plus qu'à la ferme du Plessis, si si!), et beaucoup de pecnos le samedi soir derrière l'église (plus qu'au petit parc de Coeuilly, je vous assure!).

* Pix by moi, Paris s'éveille.

Ici, quand on se lève et qu'on prend le chemin du boulot, de l'école, ou en l'occurence de l'auto-école, on croise pas de bus surbondé, ni de bouchons ou de connards en double file. Non, ici, si on a de la chance, on se fait doubler par une voiture (si y'en a trois c'est qu'il y'a de la circulation!), on tente désespéremment de doubler un tracteur dans une succession de virages, ou on essaie d'éviter les nids de poules, où les hérissons crevés sur le bord de la chaussée.
Ici, faut chercher franchement pour apercevoir des pigeons, en revanche des hérons et des buses, c'est pas vraiment ce qui manque, et si on remonte un peu vers l'ouest, on peut même voir des mouettes.
Ici, y'a pas de technoparade, ni de gaypride, juste le Vendée Globe, et la foire de la place Nap'.

Je ne dis pas qu'ici, la vie est plus belle (l'herbe est plus verte c'est vrai, mais bon!), je dis juste que c'est un autre monde.
A Champigny, quand je m'ennuyais, je pouvais descendre au 4 sergents et boire un coup avec Toinou ou Lilah. Ici, le seul café du village est squatté par une assemblée de petits vieux qui se font appeller le Léon Club. Avant, je pouvais me faire des virées inutiles aux Arcades avec ma chewb, ici le plus grand centre commercial est à 20 kilomètres, et y'a même pas d'étage.
Après avoir passé une journée à Paris, votre coton démaquillant était vraiment dégueulasse, ici, c'est pas le cas, d'ailleurs je me maquille beaucoup moins.
Ici, si on a de la chance, on peut apercevoir un noir à un coin de rue, un arabe aussi mais c'est rare, tandis qu'à Paris on prenait le métro avec des africaines multicolores, des chinois-cameraman, des vieux turcs pervers, des banlieusards mal-éduqué, des touristes perdus, et des pétasses décolorées.
A Champigny quand on ne voulait pas connaître ses voisins, ben on leur parlait pas, ici on est taxé de bêcheuse si on incline pas la tête en premier quand on croise un habitant.

Pour conclure, y'a beaucoup de choses de mon Champigny qui me manquent, et y'a beaucoup de choses que je n'aime pas dans ce village. Mais je m'y sens bien quand même, et pour tout dire, je ne regrette pas mon choix. La campagne, c'est peut-être un peu chiant, peu animé, impraticable l'hiver, et peut-être aussi que ça sent beaucoup trop le fumier, mais ça vaut la peine de s'adapter, et je suis sûre que y'a des personnes très bien qui se cachent derrière mes cons de voisins, peut-être même le Lucas de ma vie!.
La morale, c'est que la campagne, contrairement à ce qu'on dit, c'est pas la mort à boire! :)

Samedi 2 juin 2007 à 1:36

Je vous dresse un petit topo, sur son blog là, juste là http://pau-pie.cowblog.fr/, ma copine pau s'est lancée dans une liste de personnages insolites rencontrés dans les transports en commun. Comme elle en a oublié mais que je ne souhaite pas réecrire la même liste qu'elle, je vais juste me permettre de la compléter, chose que j'aurais bien fait sur son site sous la forme d'un commentaire sauf que Cow estime que celui ci est trop long pour être publié. Qu'à cela ne tienne voici ceux que Paupie a oublié...

Le Roumain: Celui qui avec une haleine et une odeur corporelle a te faire tomber raide morte entre les sièges taggés, te force presque à signer sa pétition contre les enfants sourds et muets, même si tu ne lui donne pas d'argent, juste histoire qu'il puisse montrer ta signature à d'autres usagers du metropolitain dans l'espoir qu'eux soient plus généreux que toi.

La connaissance que tu ne reconnais pas: celle qui te dit "Vanessa? C'est toi?" et à qui tu réponds "Nan, je le crois pas, c'est toi?" tout en te disant mentalement (nom de dieu qui c'est ce blaireau!).

La veille alien: celle qui ressemble à Mme notre prof d' SVT, qui te fixe sans que tu saches pourquoi, qui finit par te dire "vous avez des yeux magnifiques" et à qui tu réponds bêtement "et "vous vous avez de très belles boucles d'oreilles" sans te douter une seule minute qu'en deux temps trois mouvements elle va les enlever et te les offrir gracieusement. Dans le genre bizarre c'est ce que j'ai fait de meiux lol!

Le pervers psychotraumatisé: celui qui profite de l'heure de pointe pour coller son engin pittoyable à ton postérieur incommodé et que tu fusilles du regard sans savoir quoi dire.

Le provincial tragico-comique: celui à côté duquel tu tasseois sans savoir que deux minutes après avec un accent "bien du sud" il va se mettre à parler, à faire des blagues pas drôles et autres jeux de mots et contrepetries pathétiques auxquelles, à défaut de rire, tu souriras poliment.

Le girlband de wesh: celle qui parlent plus fort que toute une maison de retraite réunie, qui se foutent de ta gueule bruyamment, qui sentent la cocotte du supermarché et qui utilise un vocabulaire très limité inventé par des gens eux-même très limité "tinkète toi même tu c"

Les enquiquineurs: Ceux qui refusent de descendre du bus ou du train pour te laisser tranquillement sortir sans risque de mourir dans une chute humiliante.

Le marocain quinquagénaire: celui qui d'un oeil lubrique et rougeâtre te sors le fameux "on peut faire connaissance huuum"

Les touristes: Ceux qui ont cru bon de fournir à leur bagages les trois sièges qui restaient dans le RER bondé, et qui contienne leur gamine surexcitée à coup de "Calmatti amore" ou "Daddy is going to get angry" ou quelques autres conneries linguistiques universelles!

Le franco-sketuveu: celui qui utilise son portable comme un taxi phone et qui hurle probablement des aneries à son interlocuteur sénégalais, portugais ou algérien.

La bombe atomique: que toutes les femmes regardent comme si elle avait commis un crime contre l'humanité et qui vient s'asseoir juste en face de toi, histoire de bien te foutre les boules. 

Et j'en oublie moi aussi! Pour la première partie oubliez pas de passer chez pau! Je vais me coucher, tshuss!

Mercredi 31 mai 2006 à 18:27

Voilà, aujourd'hui je m'attaque à un mythe un peu spécial, dédié à la gente masculine...Prêts? Puisque les mythes ont la vie dure il est temps qu'on leur fasse la peau...


Mythe n°3: LA fille...



Sans tomber dans les clichés genre Carrie, Samantha, Charlotte et Miranda de Sex &The city, ne vous figurez pas que les femmes, filles, adolescentes ne sont que des poupées fragiles...
Les femmes sont toutes des salopes (pas vrai flo?)... Lol, je m'explique...
Non, la fille ne reste pas tranquillement dans son coin à détailler à son journal intime, les joues rougissantes, les exploits ou les méfaits de Monsieur au lit... Mademoiselle serait plutôt du genre à en parler dans le bus, à une terrasse de café, au mac do' ou au cinéma sans aucune honte avec ses amies...
Vous êtes ému par son côté femme enfant? C'était le but...



La fille aime parler sexe, et souvent plus crûment que les garçons, ne croyez donc pas naïvement que lorsque vous rencontrez ses copines elles vous regardent étrangement à cause d'un bouton sur votre visage...
Vous croyez Mademoiselle naturellement belle, ce n'est pas son cas, c'est ainsi que tous les matins elle fait une escale de plusieurs décennies devant son miroir pour choisir fard à paupière, rouge à lèvre et vêtements assortis, et tous les soirs avant de se coucher elle doit passer par la case "démaquillage, savon désincrusteur de pores, lotion anti-bactérienne, et crème hydratante"...dur dur d'être une femme qui prend soin d'elle.
Vous trouvez que ses cheveux sentent bons, qu'ils sont doux et beaux... Savez-vous combien de temps elle a passé à sentir toutes les bouteilles de shampoing dans le magasin au rayon "cosmétiques" et le temps qu'elle a passé à attendre que son après-shampoing fasse effet?
Vous vous demandez ce qu'elle peut bien ficher, cela ne fait qu'une demie heure et 45 minutes que vous l'attendez? Vous n'imaginez pas le calvaire qu'elle est en train d'endurer pour savoir si oui ou non elle met une jupe ou un jean taille basse...



Ne croyez pas que parce qu'elle aime à être maquillée et regardée, elle ne s'interesse pas à la lecture, au cinéma, aux expositions... C'est totalement faux, la fille aime briller en société et s'interesse donc à bien plus de choses que ce que l'on pense...
Mademoiselle aime le shopping... Pourquoi? Parce qu'elle peut enfin être tranquille avec ses amies, que sa langue peut enfin s'affoler ailleurs que dans la bouche de son copain et que faire péter la carte bleue est encore le meilleur remède à l'ennui après le chocolat...
La fille par définition aime prendre soin d'elle pour qu'ensuite on l'en félicite... Elle s'étale dans la catégorie "langue de pute" sans vergogne et râle quand on la critique. La fille, la vraie, sait à la fois être tendre, machiavelique, souriante, gentille, sensible, salope, manipulatrice, égocentrique, belle, fragile et forte à la fois...
La fille, la vraie, vous l'adorez ne dîtes pas le contraire...



Idées reçues à bannir: *Ne croyez pas que parce qu'une fille est moche elle est prête à sortir avec n'importe qui, il y'a des limites.
*Si la fille passe des heures à se pomponner, ce n'est pas pour que vous lui disiez par la suite: "je te préfère au naturel" parfois il faut savoir faire preuve de tact...
*Ne sous-estimez jamais une fille, ce n'est pas parce qu'elle semble conne, qu'elle l'est... En réalité la fille est le meilleur ennemi de l'homme.
*Quand une fille dit non ça ne veut pas dire oui...
*Les magazines féminins contrairement à ce que l'on pense, sont toujours très instructifs...
*Ce n'est pas parce qu'elle a un visage d'ange et des complexes, qu'elle ne courra pas vers ses amies dés le lendemain pour leur raconter votre première nuit...Ne vous inquiétez pas ce sont des choses qui se font...

Vendredi 26 mai 2006 à 22:47

Les idées préconçues s'accrochent à nous comme Dracula au cou de Winona Ryder... Nous les filles, on est toujours persuadé de connaître la gente masculine, et vice versa... Mais voilà avec des si on pourrait mêttre un cachalot dans une boîte d'allumettes (mdr le truc qui n'a rien à voir!)... Les mecs ne sont pas tous pareils, et mieux encore ils ne sont pas tous obsédés ou machos ou dotés d'une toute autre tare génétiquement maléfique! Vous commencez à connaître le principe: Les mythes ont la vie dure alors cassons-les!


Mythe n°2: Le beau gosse...



Le beau gosse n'est pas seulement beau, étrangement stupide et focalisé sur les nénés. Non le beau gosse a un coeur, des pensées, des sentiments. Le beau gosse n'aime pas que les filles "bonnes", bien roulées, un peu coconnes et faciles... En réalité il a des goûts aussi variés que les nôtres, comme quoi on est pas forcément obligées de se transformer en Kate Moss.
Première nouvelle il existe des beaux gosses intelligents! waouuuuuu! Mais aussi drôles, attentifs, affectueux, aimants... Et oui comme quoi tout est possible!
Fini l'époque où l'on fantasmait devant les pubs Calvin Klein, le beau gosse est accessible. Désormais le beau gosse se popularise... Il est proche des petites gents, il sourit, rit, parle avec vous, il ne se contente pas que de rester comme un con sur papier glacé!



Deuxième nouvelle le jeune homme à vos côtés est peut-être un beau gosse pour quelqu'un! Alors on ne juge pas... Bon d'accord j'admets des fois c'est inévitable. Mais ne tombons pas dans les clichés et chacun ses goûts. La nature est si bien faîte que vous trouverez toujours quelqu'un à qui vous plairez... Je connaissais un beau gosse, un pur beau gosse, un de ceux que l'on croise rarement dans la rue... Quand on marchait dans la rue avec lui toutes les filles bavaient... Ce mec aurait pu se taper Monica tellement il était sexy! Et ben vous savez ce qu'il aimait le plus chez une fille? Ses sourcils... Son kiff à lui c'était les gros sourcils, voire les mono sourcils... Alors ne vous inquiétez pas, les beaux gosses aussi peuvent être vôtre!
Le beau gosse peut se trouver dans une bibliothèque, à la comédie française (lol dédicace à Erwann... je ne t'ai jamais oublié!), derrière un camion poubelle (lol ma chewbacc's) dans le métro, derrière la caisse du Mac Do, derrière une couche de boutons. Alors stop aux préjugés, tout les mecs peuvent être des beaux gosses! Il ne suffit pas simplement d'avoir l'air de sortir d'une pub Vivel Dop ou Diesel, il faut avoir du charme, un charme fou... Pourquoi vous croyez que Beigbeder se tape la fille de Johnny? Que Vincent Cassel a épousé Monica? Que PPDA est un bourreau des coeurs? Le charme les amis, le charme!
Au même titre que tous les hommes ne peuvent être mis dans le même sac, tous les beaux gosses ne se cataloguent pas...



Idées reçues à bannir: *Ne croyez donc pas que parce que vous vous trouvez moches, vous n'avez aucune chance, on ne sait jamais à qui l'on plaît...
*Un beau gosse n'est pas forcément casé, au contraire!
*Un beau gosse n'est pas forcément conscient de sa bogoss'attitude!
*N'oubliez pas le coup des sourcils...

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